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Communiqué de l'OPS

Photo du rédacteur: La Petite SirèneLa Petite Sirène

Dernière mise à jour : 8 janv.

Fort de son expertise, de son réseau international de professionnels et de chercheurs, ainsi que de la clinique de ses membres, l’Observatoire la Petite Sirène (OPS) – centre d'études, de ressources et d'information – tient à alerter les médecins, psychologues, psychanalystes, enseignants, et tous les professionnels de l'enfance, de la confusion persistante qui entoure les mineurs déclarant vouloir changer de sexe.


Ces adolescents, souvent en quête d'identité et parfois en grand désarroi face aux transformations de la puberté, présentent dans certains cas, des troubles psychologiques nécessitant un accompagnement spécialisé par des professionnels de l'adolescence, tels que pédopsychiatres, psychologues, psychanalystes.


La majorité de ces jeunes ne sont pas "trans". Ils sont en proie à ce que nous identifions comme des angoisses de sexuation pubertaire (ASP).


Il est urgent de décorréler "transidentité", désir de changer de sexe/genre et malaise pubertaire. La "transidentité" est souvent une solution trouvée par ces adolescents sur les réseaux sociaux ou au sein de groupes de pairs pour changer le corps qu'ils n'aiment pas et dont les transformations s’imposent à eux. Il est tout aussi urgent de cesser de qualifier ces jeunes en détresse de "mineurs trans" ou "adolescents trans".


Les ressentis, bien qu’importants, ne doivent pas être utilisés comme justification systématique pour affirmer qu’un adolescent exprimant un mal-être corporel est nécessairement "trans".

L'OPS recommande une prise en charge réfléchie et adaptée, afin de répondre véritablement aux besoins psychologiques de ces jeunes. L’OPS recommande d'aider les parents face à ces demandes intempestives de leurs adolescents. 


L'OPS appelle les professionnels à ne plus nommer "trans" ces jeunes et à consulter notre proposition clinique dont voici le lien :

 

 




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